Géraldine MAYER Sophrologue Hypnothérapeute
Praticienne EFT (Emotionnal freedom techniques)
Un accompagnement personnalisé
Adolescents
C’est devenir « le HÉROS » de sa propre vie
Période de transition, l’adolescence est marquée par une profonde transformation comparable à une seconde naissance, où domine un sentiment d’instabilité et d’incompréhension. L’adolescent voudrait bien mais ne peut point… car il ne sait pas forcément comment gérer ce qu’il ressent. À cela s’ajoute le grand dilemme de l’orientation renforcée par la pression des examens, et une perte de la motivation
periode de construction d une nouvelle identité et deconstruction d une ancienne
Cette période génère de grands paradoxes, des tourments internes et externes chez les adolescents mais également chez leurs parents.
Il s’agit de faire le deuil de ce qui était pour accueillir ce qui va devenir
Le besoin de liberté, d’autonomie et à contrario la peur d’être seul et abandonné entraînent des comportements souvent inadaptés.
La sophrologie offre à toutes les grandes problématiques des astuces pour optimiser les résultats
Différents types d’accompagnement seront proposés pour:
lutter contre les complexes:
vivre sereinement son corps : évacuer ses complexes et renforcer la confiance en soi.
lutter contre la morosité:
maintenir durablement son dynamisme en éliminant l’ennui et retrouver l’envie.
lutter contre la rébellion:
grisé par la force et le pouvoir que lui procure son agressivité, il perd toute forme de respect envers les autres et les maltraite :
– évacuer sa peur – gérer son agressivité – être respectueux
lutter contre l’exclusion:
l’adolescent vit la marginalisation, sa singularité l’exclut du groupe allant parfois jusqu’à devenir un bouc émissaire. A terme le rejet répété de ses camarades ne permet plus à l’adolescent de s’intégrer. Stigmatisé par sa différence, il ne se sent pas digne d’être aimé et développe une mésestime de lui-même :
– s’affranchir du regard des autres et renforcer sa capacité à s’intégrer
lutter contre les troubles du sommeil:
outre les nombreuses modifications hormonales de la puberté, l’adolescent développe des habitudes de vie qui contribuent à dérégler son horloge biologique. Il entretient souvent une vie sociale tardive ( réseaux sociaux, soirée le week-end..) et réduit grandement son activité physique ( ordinateur, TV, ..). Progressivement une dette de sommeil importante s’installe, rendant les réveils matinaux difficiles et faisant surgir des pics de fatigue.
Sur la durée l’adolescent s’épuise physiquement et mentalement et ne parvient plus à maintenir ses apprentissages.
– récupérer et retrouver un rythme adapté à celui de son environnement.
lutter contre les conduites addictives:
la découverte et la conquête de son autonomie le poussent à expérimenter ses limites en prenant des risques et à se confronter à la norme en transgressant certains interdits. Ces nouvelle expériences si elles sont associées à une séparation mal vécue, elles génèrent chez l’adolescent un état anxieux qui le pousse à trouver des stratégies de soulagement inadaptées : consommation d’alcool, stimulants, cannabis…
Malheureusement ce comportement est souvent amplifié par la valorisation et la reconnaissance de ses camarades. A long terme ce comportement engendre une dépendance :
– évacuer son anxiété – maîtriser ses pulsions – développer la confiance en soi
– retrouver un comportement adapté
lutter contre l’inhibition:
l’adolescence est une période qui exacerbe la timidité et un enfant déjà timide peut parfois devenir un adolescent inhibé. Les conséquences sont diverses et limitantes : difficulté à penser, à se concentrer, à mémoriser, mutisme, perte de l’appétit, affective, motricité réduite. Les capacités d’adaptation sociale sont alors réduites et engendrent généralement une attitude de repli :
– dépasser son anxiété et renforcer sa confiance en lui
lutter contre la somatisation:
c’est l’expression d’une souffrance psychologique : la personne se plaint de douleurs ou de troubles physiques sans qu’aucune cause organique soit avérée. La somatisation se manifeste par des maux de ventre, des céphalées, des courbatures, de l’eczéma, des allergies, des troubles digestifs, des nausées, des diarrhées, des crises d’asthme ou de la spasmophilie…
– évacuer son anxiété, gérer sa douleur et faire de nouveau confiance à ses capacités physiques et mentales pour ne plus somatiser
lutter contre le fléchissement scolaire:
cette difficulté transitoire survient généralement à la fin du collège ou tout au début du lycée. L’adolescent est attiré par de nouveaux centres d’intérêt et délaisse l’apprentissage des connaissances au profit de l’expérimentation de nouvelles sensations. Il a également besoin de s’affranchir de ses parents. Lorsque le fléchissement perdure, ces mauvais résultats scolaires impactent négativement l’estime de l’adolescent, il perd sa motivation et ne fournit plus d’effort. Il est rapidement en échec et à terme il risque de décrocher et de quitter le système scolaire.
– éliminer les croyances négatives et renforcer sa motivation pour maintenir durablement son engagement scolaire.
les examens:
les examens permettent de valider les étapes de l’apprentissage (collège, lycée et études supérieures) et apportent une reconnaissance sociale. L’adolescent aborde souvent ces examens avec beaucoup d’inquiétude, car leurs résultats impactent son avenir professionnel et ses relations familiales. Il redoute de ne pas être à la hauteur et gère son angoisse selon les cas : il cherche refuge dans d’autres activités pour oublier l’échéance ou il est obsédé par ses révisions. Dans les deux cas il s’épuise et ne parvient plus à maîtriser son angoisse le jour J. Il perd toute estime de lui-même.
– optimiser son potentiel pour affronter un examen précis.